Amahoro

Une autre mission au Burundi est maintenant terminée, la deuxième et j’espère pas la dernière. J’ ai eu l’honneur d’accompagner encore une fois le professeur Monti et le professeur Falez, et cette fois le prof. Alfredo Schiavone Panni , professeur d’ orthopédie à la faculté de Campobasso.
Que dire … Je ne peux pas attendre d’ y retourner encore. La première fois, il y a un an, c’était comme être né, cela arrive et tu ne sais pas pourquoi … mais ça s’est passé ! Mais cette fois-ci c’était différent, le mal d’Afrique est entré dans le sang . La force impétueuse de la nature se manifeste pleinement dans la joie de vivre de ce peuple.
Ce qui me manque ce sont les sourires, les poignées de main , des embrassades et la jovialité du peuple burundais qui ne manquent jamais dans la vie quotidienne ou dans la souffrance . La paix intérieure que l’Afrique exprime est difficile à décrire, mais doit s’infecter comme une maladie, ils ont besoin de nous et nous, nous avons besoin d’eux.

Achille Contini

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